Nous entrons dans l’atmosphère poussiéreuse et radioactive de Stalker (1979) réalisé par Andreï Tarkovski.
Le cocktail que je vous présente aujourd’hui est nommé Ode to Joy, un clin d’œil à l’utilisation de cette partie du dernier mouvement de la Neuvième Symphonie de Beethoven également utilisée dans A Clockwork Orange de Stanley Kubrick.
Dans Stalker, elle est brève et presque imperceptible lors du premier acte; durant lequel un verre posé sur une table de chevet semble bouger à cause d’un train qui passe.
Cette pièce est reprise dans le film à quelques reprises pour illustrer le contraste avec l'atmosphère sombre, dangereuse, chaotique et oppressive de La Zone, alors qu’Ode to Joy est un symbole d’unité humaine, le bonheur et l’espoir.
Dans cette création on y retrouve de la vodka Stolichnaya, un sirop maison de fleurs calendula, de la crème de violette, un peu de lime et du vermouth blanc Dolin.
